Programmation 2013/2014

Sept
2013

27 et 28 à 20h30
29 à 17h00

Nov
2013

29 et 30 à 20h30

Dec
2013

6, 7, 13, 14, 20, 21
à 20h30
1er, 8, 15, 22 à 17h00

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

La guerre titre provisoire

Pièce de Miguel Angel Sevilla
Interprétée par Vincent Viotti
Mise en scène : Gabriel Debray
Création lumière : Jacques Boüault
Création sonore : Anton Langhoff

la guerre

La guerre titre provisoire de Miguel Angel Sévilla est une pièce sur l'engagement. Serge, reporter de guerre, blessé au milieu des gravats d'un hôtel en ruine s'adresse à lui-même, à la face du monde, devant sa caméra, sa dernière compagne. Il questionne son rôle de témoin et son engagement. Aux alentours les bruits des détonations et des rafales d'armes automatiques témoignent d'une menace omniprésente. Tourmenté, il se débat et met en scène ses contradictions avec pour seul témoin «l'œil qui le filme». Dans une exaltation fantasque due aux effluves de l'alcool, avec des mots dont il mesure l'usure, il dénonce la guerre et dénonce son traitement médiatique. Intimité et démesure, poétique et politique s'entremêlent. L'Histoire avec un grand H grince, opéra bouffa ou tragédie ?

Avec La guerre titre provisoire le questionnement s'élargit sur la place du théâtre : l'engagement de l'acteur et les mots du théâtre sur la représentation du monde peuvent-ils encore se faire entendre ? L'auteur en donne une réponse singulière que le spectateur ne découvre qu'à l'ultime fin.

Après L'insomnie du Prince de Conti cette question donne l'occasion à Gabriel Debray de mettre en oeuvre le deuxième volet d'un triptyque théâtral.


 

Oct
2013

4 et 5 à 20h30
le 6 à 17h

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

Plateau partagé Chanson française

Juja Lula

Juja Lula

Juliette Taffin, pianiste trompettiste fellinienne et Lucie Taffin, accordéoniste solaire et cramée, mêlent et désemmêlent leur voix et ainsi font font font JUJALULA. Leurs chansons, sauvages, empruntent à la gravité du blues, au lyrisme du jazz, comme chez Nougaro ou Annegarn. Et leurs crocs-en-jambe nous précipitent dans la joie et la tendresse : « Viens chez moi dans ma zone, t'occupe pas de l'ozone, laisse tomber la couche, rejoins-moi sous la douche ». Ici même, au Local, elles ont enregistré leur album « JujaLula en concert » (2012). Elles nous reviennent avec leur tout nouveau répertoire !

Jean Stengel

À la croisée des routes, Jean Stengel chante aussi bien l'amour des déviances que la beauté des doutes. Guitare envoûtante, voix chaude et textes aux couleurs poétiques, comme une main amicale et rassurante pour traverser la nuit. Cet auteur-compositeur, interprète d'une sincérité rare, propose des chansons pour la tête, les oreilles et le coeur. À découvrir sur scène.


 

Oct
2013

18 et 19 à 20h30
20 à 17h00

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

Solos et duos de danse
Carte blanche à Claire de Monclin

Pour 20 ans et pour plus longtemps

Chorégraphie : Claire de Monclin
Interprétation : Claire et Quentin de Monclin
Création musicale : Hugues Vincent
Création lumière : Jacques Boüault
Scénographie : Patrick Pinon

claire de monclin

Claire de Monclin nous propose de redécouvrir sa dernière création « Pour 20 ans et pour plus longtemps » et invite chaque soir un artiste différent en première partie !

Deux danseurs, une danseuse contemporaine et un danseur de break : une mère et son fils. Animés de perceptions différentes, ils veulent établir un dialogue, créer des ponts d'un univers à l'autre.

Deux techniques, deux énergies cherchent à s'accorder ensemble en respectant les spécificités de l'un et de l'autre. La mère saisit au vol un fil imaginaire inventé par le fils, pour partager son jeu. Au fur et à mesure, ils trouveront d'autres moyens de communiquer, tour à tour appui ou support l'un pour l'autre, la matière même de la danse devient leur terrain d'aventures. Elle réussira à se faufiler dans ses « clefs », il partira à la conquête de l'espace. La scansion du danseur s'enrichira d'un nouveau phrasé, sa danse à elle gagnera en intensité.

Le violoncelliste Hugues Vincent crée une bande son originale pour accompagner leur histoire. Sur scène, dans une scénographie de Patrick Pinon, un tissu rouge, tour à tour balançoire, arbre ou même forêt, concrétise le lien qui les unit. Cette chorégraphie raconte leur connivence et en même temps tout ce qui fait qu'ils ne se comprendront jamais tout à fait.

Cette danse résonne chez le spectateur et le place face à lui-même et aux liens qu'il a tissés avec les siens.

Coproduction : Ombre en lumière


 

Nov
2013

8, 9, 15, 16 à 20h30
10 et 17 à 17h00

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

La périphérie des gens

Résidence de création Couleur Local
La Compagnie des Epices
Récit : Florence Desnouveaux et Gilles Bizouerne
Images et lumière : Laurent Dhainaut
Mise en scène : Alain Prioul
Co-produit par la Maison du Conte

la périphérie des gens

L'idée de créer ce spectacle émerge à la suite d'un collectage de récits et d'images en banlieue parisienne. De cette matière sensible est née l'envie de créer un territoire imaginaire comme une mosaïque de ces réalités de vie.

La périphérie des gens nous entraîne sur la question du lien qu'entretient l'individu avec son territoire et notre regard s'est posé sur cet environnement urbain en constante évolution qu'est la périphérie. Comment sommes-nous formés, écrasés ou élevés, portés ou submergés par le lieu que nous fréquentons au quotidien ? Traverser une ville, une cité, une rue, un couloir peut générer des émotions, des élans qui témoignent d'une attention au monde qui nous touche.

La trace de chaque récit est évoquée par un geste, une intonation, une respiration, des expressions particulières. En reliant ces histoires vécues, un territoire imaginaire se dessine : tours, maisons, jardins, autobus, allées… Avec des personnages emblématiques : la jeune fille hésitante, le père de famille bourru, la femme esseulée, l'adolescent poignant…

Sur fond d'urbanisme en développement, ces histoires révèlent une capacité vigoureuse à réagir aux obstacles qui se dressent sur chaque parcours de vie.


 

Nov
2013

Dec
2013

Du 21 nov
au 8 décembre
de 14h à 20h

Mes 40 ans de reportage

Exposition des photographies de Philippe Rochot
Usine Sprint court

beyrouth

Couleur Local est un principe de résidence artistique qui crée une dynamique entre artistes, habitants, acteurs institutionnels et associatifs engagés dans le quartier Belleville/Fontaine au Roi. Gestes artistiques, rencontres, débats et actions culturelles sont organisés avec les équipes artistiques ; ainsi les créations Couleur Local s'inspirent de la diversité de Belleville et profitent aux habitants et habitantes du quartier.

Dans ce cadre, pour la création du spectacle La guerre titre provisoire de Miguel Angel Sévilla, nous vous proposons un parcours-exposition autour des photographies des 40 ans de carrière du grand reporter de télévision Philippe Rochot à l'Usine Spring Court - lieu où se trouvait l'agence Magnum de 1990 à 2000.

Ce parcours prend tout son sens au cœur de Belleville, terre d'exil, de lutte, de fête et d'intégration.

Quarante année de reportage télévisé sur les conflits majeurs de notre planète m'ont permis d'éterniser ces temps forts vécus dans la guerre du Kippour, le conflit du Liban, la révolution Islaminique, la guerre en Irak-Iran, l'Afghanistan, la Somalie, le Rwanda… La photo est restée mon « carnet de notesé car l'image fixe a pour moi valeur d'identité.

Philippe Rochot.

Usine Spring Court
5 passage Piver
75011 Paris

 

• Vernissage le jeudi 21 novembre 2013 à partir de 18h

• Rencontre-débat en présence de Philippe Rochot le samedi 30 novembre 18h.


 

Janv
2014

10 et 11 à 20h30
12 à 17h00

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

Solos et duos de danse

Cycle de rencontres autour de la danse, à travers de petites formes présentées par de jeunes artistes et des chorégraphes confirmés.

Riz complet

Compagnie METAtarses
Conception et interprétation : Sandra Abouav,
chorégraphe et danseuse,
Et Alexis Morel, comédien et flutiste

Riz complet

À chaque mot, un geste, un lieu. Mais, le thé est-il toujours au jasmin ? Que se passe-t-il quand Rinaldo et Dora Maar se crient leur amour ? Quand j'ai la dalle, quand ça suffit ? Où est passé Deltoïde ? Et plus vite, ça donne quoi ? Et en chantant ? Et quand la machine s'emballe, s'enraye, bugue ?

Ils sont deux. À leur virtuosité répond leur engagement physique. Ils se décalent, se recalent, tentent de se suivre, se perdent, jouent à se perdre, se retrouvent, s'échangent les rôles. La danse fait l'expérience d'un texte en perpétuelle mutation. Raccourcis, déclamations à l'envers, accélérations, ralentis. Les mots se lient, se délient, et tendent leurs pièges aux protagonistes.

Riz complet est le quatrième spectacle de Sandra Abouav avec la compagnie METAtarses. Elle invite Alexis Morel à la rejoindre dans ce rébus chorégraphique, pour transposer en corps et en mots, sur le plateau, les méandres que l'esprit emprunte quand il s'égare, s'échappe et se laisse emporter.

 

In the moule for love

Interprètes : Anne Briant et Jacky Lucas
Musique : Adamo platinum collection, Led zeppelin IV, Christophe

In the moule for love

Duo dansé
Renversant
Sans parole
Pour les gens d'ici et d'ailleurs
Jeu, maladresse, séduction et attentes
Entre légèreté et gravité où l'humour n'interdit pas le sensible, deux êtres cherchent à se rencontrer …


 

Janv
2014

17 et 18 à 20h30
19 à 17h

Les voisins du dessus

Vous êtes amateur de chorales ? Nous sommes une chorale d'amateurs !

Les voisins du dessu

Créée en 1994 et dirigée par des musiciens professionnels, la chorale Les Voisins du Dessus a pour vocation de nourrir ce plaisir de chanter ensemble qui est en chacun de nous. Un répertoire éclectique, cosmopolite, humoristique, citoyen, international, patrimonial, original.

Un concert des Voisins du Dessus est à vivre en famille, entre amis, en amoureux, seul et seule,... c'est comme on veut.

Une vingtaine de "voisins" sera là pour chanter, vous faire chanter et vous enchanter. Vous écouterez les Voisins du Dessus dans leur répertoire original de chansons françaises (mais pas que !) et vous apprendrez une chanson !!!

Au cours de l'atelier animé par Jean-Marie Leau, Stéphanie Blanc et Jérôme Levatois, vous apprendrez en direct une chanson harmonisée à plusieurs voix et vous la chanterez avec Les Voisins du Dessus pour une expérience unique, inoubliable.

Laissez simplement opérer sur vous le charme d'un moment convivial !


 

Janv
2014

24, 25, 31 à 20h30
le 26 à 17h00

Fév
2014

1, 7, 8 à 20h30
2, 9 17h00

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

Les origines de la vie

De Thomas Gunzig
Au Diable Vauvert, 2009 (in Assortiment pour une vie meilleure)
Mise en scène : Gilles Losseroy
Avec : Isabelle Mestre
Lumières : Thierry Mathieu
Costumes : Françoise Klein
Diffusion : Culturae Vox / Annick Savignet

Les origines de la vie

Dans un salon sans âge où flotterait le parfum de quelque fantôme, une hôtesse facétieuse invite au dépeçage méthodique de ses repères intimes. Des nôtres ? … Entre tragédie de supérette et strip-tease macabre, Thomas Gunzig réinvente l'humour grinçant… peut-être bien le chaînon manquant entre Laurence Pernoud et Euripide !

« La vie, ce ne serait que de la mort en désordre…
La vie, ce ne serait que de la mort, mais en moins bien.
La vie, ce ne serait que de la mort, mais avec des crasses dedans. »

Dans un parti-pris très intimiste, sur un plateau éclairé par les lumières spectrales des ampoules, la mise en scène d'une très grande sobriété invite les spectateurs dans l'espace même du jeu, comme autant de témoins et convives faisant cercle autour du personnage à qui Isabelle Mestre insuffle une présence toute de fragilité et de précision. Un poisson rouge et trois fauteuils dessinent les bornes de cet univers syncopé où texte et corps se faufilent entre les ellipses du temps et se répondent dans une chorégraphie crépusculaire.


 

Mars
2014

8 et 9 à 20h00
8 et 9 à 17h00

Tous publics
Entrée libre

Le Printemps des poètes

Poèmes d'ici et d'ailleurs

Le Printemps des poètes

Depuis plusieurs années au Local, Le Printemps des poètes est l'occasion de faire se rencontrer la diversité des publics que nous accueillons et avec lesquelles nous travaillons : participants des ateliers, adolescents et adultes des actions culturelles que nous menons, artistes de l'association, compagnies programmées au Local, habitants et habitantes du quartier et toutes personnes passionnées de poésie.

Dans une belle prise de risque partagée, ils viennent lire, dire et entendre des poèmes d'ici et d'ailleurs. Tous participent à cette dynamique de croisement des publics qui est l'un des objectifs majeurs de l'association Ombre en Lumière.

Patrick Pinon, peintre, créateur textile, plasticien militant, comme lui-même se définit, participe à cet événement en animant un atelier de scénographie avec les personnes qui le désirent afin d'habiller le Local pour l'occasion.

Ces moments de convivialité et d'échanges s'inscrivent dans une démarche artistique exigeante où chacun contribue à l'évènement culturel. Cette année, le thème de la manifestation nationale du Printemps des poètes est « Au cœur des arts ».

Pour plus d'informations : http://www.printempsdespoetes.com/


 

Mars
2014

14, 15, 21, 22
à 20h30
16 et 23 à 17h00

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

Paroles de Nègres

Interprétation : Amadou Gaye
Mise en scène : Gabriel Debray

Paroles de nègres

Des mots qui claquent
Des mots qui dansent
Des mots qui chantent
Passionnément
Poétiquement

Je suis au service de cette littérature à part entière qui appartient désormais à la Grande littérature de l'universel.

Amadou Gaye.

Après "Négritudes, balade poétique", je suis heureux de reprendre le chemin avec Amadou pour retrouver ces poètes, porteurs d'espoir. Cette poésie moderne concerne l'humanité, elle raconte notre histoire, parle au coeur des hommes qu'elle souhaite réunir. Homme avec la conscience de la nature qui nous a fait naître et celle de notre responsabilité à "être" humain. Gabriel Debray

Sur des textes des poètes :

Francis Bébey -Cameroun.
Aimé Césaire -Martinique.
Birago Diop -Sénégal.
David Diop -Sénégalo-Camerounais.
Léon-Gontran Damas -Guyane.
Gilbert Gratiant -Martinique.
Langston Hugues -USA.
Jean Metellus -Haïti.
Paul Niger -Guadeloupe.
Jacques Roumain -Haïti.
Léopold Sédar Senghor -Sénégal.
Guy Tirolien -Guadeloupe.


 

Avril
2014

4, 5, 11, 12
à 20h30
6, 13 à 17h00

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

Ravie

Résidence Couleur Local
De Sandrine Roche
Mise en scène : Luc Laporte
Musique : Fred Costa
Décor : Cyrille Bosc
Marionnettes : Aline Bordereau
Lumière : Laurent Patissier
Avec : Léa Ros
Distribution en cours

ravie

Une nuit, un paquet est livré. C'est Blanquette la septième.

Elle découvre une maison, un enclos, un Seguin et six chèvres fantômes aux histoires cruelles. Prise entre le quotidien diurne de Seguin et les récits nocturnes de ces folles aînées, Blanquette se demande si elle aussi ne pourrait pas goûter un peu à ce loup si beau, à cette montagne si belle. Est-ce aussi dangereux qu'on le dit ? Elle craint moins de mourir que de vivre dans la peur à une longe si courte. La Montagne s'impose tel un ravissement et l'aventure commence …

RAVIE est une libre variation autour de la chèvre de Monsieur Seguin. Un spectacle sur la dualité liberté/sécurité. C'est une commande d'écriture de Luc Laporte à Sandrine Roche, un texte à paraître aux éditions Théâtrales en 2014.

« Il n'y a pas vraiment de morale à cette histoire, aucune notion de bien ni de mal. Il y est simplement question d'un choix, celui d'un envol, d'une émancipation ». S.R

Production Contre Ciel : www.contreciel.fr


 

Mai
2014

1, 2, 3, 9, 10, 16, 17
à 20h30
4, 11, 18 à 17h00

Plein tarif : 12 €
Demi-tarif : 6 €

Tu trembles

Mise en scène : Marie-Christine Mazzola
Texte : Bruno Allain
Musique : Lucas Barbier
Costumes : Pétronille Salomé
Univers plastique : Bruno Allain
Avec : Bruno Allain, Juliette Allain, Lucas Barbier, Karim Khali et Tamara Al Saadi

Tu trembles

En lisant le numéro du « Monde » du 1er février 2008, j'ai eu le sentiment que la planète avait rétréci, devenue à peine plus grande que la caravelle de Christophe Colomb, et que nous étions, dans la même situation que l'équipage, effarés au milieu de l'océan. Nous aussi, nous n'avons plus beaucoup d'eau ni de nourriture, nous sommes en passe d'attraper le scorbut et l'état du navire laisse à désirer. A une différence près : devant nous, pas d'Amérique ; derrière nous, pas de port d'attache.

Nous voilà sur notre planète « Perdus dans l'immensité ».

Une pièce-paysage dont chaque thème, issu d'un article de journal, mêle l'intime et le collectif.

Tu trembles est le premier volet de cette saga. L'homme occidental, non sans résistance, petit à petit, prend conscience que la terre est un vaisseau spatial. Tout y est précieux. Gâcher ? Une hérésie. Sa survie dépend de sa capacité à réinventer, se réinventer, ce qui pose avec davantage d'acuité la question du vivre ensemble. Il est donc question d'aujourd'hui, du monde qui se délite, de l'argent comme agent corrosif, de l'omniprésence des média, d'utopies malmenées et surtout de l'homme qui fait ce qu'il peut pour se tenir debout dans la tempête. Tu trembles est un texte résolument tourné vers l'avenir, incitant à dresser un constat et à passer à l'action, presqu'à l'insurrection, délivrant tour à tour révoltes, dérives, sursauts, frayeurs et enthousiasmes. L'auteur donne à lire des figures, qui ne baissent jamais les bras : elles se risquent, échouent, s'entêtent, s'empoignent, et quelques soient les obstacles, toujours elles avancent et toujours elles recommencent.

Avec le soutien du Jeune théâtre national (JTN), du théâtre Firmin Gémier (Châtenay Malabry), du label Rue du conservatoire(association d'anciens élèves du CNSAD), du Centre National du Livre, de la région Ile de France et le Monde.